Parmi eux, deux sur cinq disent avoir subi des violences physiques.
Près de la moitié (45%) disent s'autocensurer par crainte de représailles, de voir leurs sources dévoilées, ou parce qu'ils sont conscients que leurs articles sont en conflit avec les intérêts de parties prenantes concernées.
Les données montrent également que les femmes journalistes sont plus exposées que les hommes au harcèlement en ligne.
44 assassinats en 15 ans
Une augmentation de 42% des cas a été relevée entre 2019 et 2023 par rapport à la période précédente (2014-2018).
Cette enquête, révélée à l'occasion de la Conférence mondiale de la Journée mondiale de la liberté de la presse qui se tient à Santiago du Chili, souligne que le problème est mondial, les attaques ayant lieu dans 89 pays de toutes les régions du monde.