
Une confiance très faible
Le G7 devrait s'engager dimanche à oeuvrer avec les autres pays développés pour parvenir à mobiliser cette année une enveloppe de 100 milliards de dollars par an pour la lutte des pays émergents contre le réchauffement climatique, selon une dernière version provisoire du communiqué final du groupe consultée par l'AFP.
Sa nomination en début d'année à la tête de cette grande conférence de l'ONU sur le climat a été accueillie avec méfiance par les ONG de défense de l'environnement. Car M. al-Jaber est aussi le directeur général d'ADNOC, le géant pétrolier national des Emirats arabes unis.
Dans un discours qu'il a fait samedi à huis clos devant les ministres du G7 réunis à Sapporo, M. al-Jaber a par ailleurs appelé le monde à tripler les fonds disponibles en matière de lutte contre le changement climatique pour les pays émergents d'ici 2030.
