La scène politique camerounaise est en émoi depuis l’approbation, le 10 juillet 2024, d’une loi prolongeant d’un an les mandats des députés et des conseillers municipaux, jusqu’en mars 2026. Cette décision, émanant du parti au pouvoir, le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), a suscité une avalanche de critiques et de préoccupations au sein de l’opposition et de la société civile.