Les échanges dévoilés montrent, en effet, des propos racistes et des menaces, notamment d'assassinats contre des personnalités de gauche comme Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard ou Elsa Faucillon, de La France Insoumise (LFI) ainsi que des personnalités musulmanes françaises, telles que le journaliste Taha Bouhafs et une correspondante d'Anadolu, ainsi que des imams.
Les membres du groupe Telegram appelaient également au meurtre de personnes immigrées sans papiers, ainsi qu'au viol de femmes portant le foulard islamique.
Selon les informations d’Anadolu, l’avocat au barreau de Paris, Nabil Boudi, également mentionné dans la liste des cibles, se charge de déposer une plainte collective et invite toutes les personnes listées à se joindre à la procédure.