![Crédit photo: OLIVIER MORIN / AFP](https://img.piri.net/piri/upload/3/2023/10/7/8f57e08b-o59eqq285jgr2d738or53.jpeg)
Le 8 mars 2022, la décision de la Commission européenne d'harmoniser la réponse pénale dans les pays de l'Union européenne face aux violences commises contre les femmes avait été saluée quasiment par tous, sur le papier du moins.
Un an et demi plus tard, une ligne de fracture s'est fait jour autour de la question du viol, entre les pays souhaitant qu'il soit intégré à la directive -une position défendue par la Commission et le Parlement- et ceux s'y opposant pour des raisons juridiques, au niveau du Conseil de l'UE.
C'est un désastre que la France se retrouve dans cette coalition de refus
"Choquant et rétrograde"
Selon l'Agence européenne des droits fondamentaux, une femme sur trois dans l'UE a subi des violences physiques ou sexuelles depuis l'âge de 15 ans, et une femme sur 20 a été victime de viol.
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