L'homme de nationalité taïwanaise, identifié par son seul nom de famille, Cheng, a organisé des séjours dans cinq provinces chinoises entre mai et octobre, ont indiqué des procureurs du district de Ciaotou, dans la ville de Kaohsiung (sud).
La période précédant le scrutin est suivie de près, principalement à Pékin et à Washington, car elle pourrait être déterminante pour l'avenir des relations entre Taïwan et une Chine de plus en plus belliqueuse.
Les autorités taïwanaises craignent une interférence chinoise qui puisse influencer le résultat des urnes.