Cette prise de position intervient à quelques jours de la première visite du secrétaire d'Etat américain Antony Blinken en Asie centrale, pour resserrer les liens de Washington avec les cinq ex-républiques soviétiques de la région.
Cet immense pays grand comme cinq fois la France fait partie de diverses alliances militaires et économiques chapeautées par la Russie, avec laquelle il est lié par une déclaration d'amitié éternelle.
La diplomatie kazakhe a refusé de soutenir l'invasion russe et de reconnaître l'annexion des territoires ukrainiens revendiquées par Moscou, tout en s'abstenant ou en votant contre les résolutions des Nations unies condamnant la Russie.
Ces pourparlers de paix chinois russo-ukrainiens en douze points ont dans l'ensemble été accueilli avec scepticisme les pays occidentaux.