Tireurs embusqués sur les toits, viols utilisés comme arme de terreur, enlèvements, meurtres: les violences des gangs qui contrôlent environ 80% de la capitale ne cessent de s'aggraver dans ce petit pays pauvre des Caraïbes.
Des appels pressants pour y envoyer une force d'intervention multinationale en appui de la police haïtienne, débordée, sont pour l'instant restés lettre morte.