Cette annonce est scrutée par le gendarme européen de la concurrence, inquiet de la domination de ce marché crucial par une poignée de géants américains.
L'entreprise revendique pour son IA conversationnelle, pour l'instant accessible au grand public en version bêta, des performances comparables à celle de ChatGPT-4 du pionnier OpenAI.
Si la Commission européenne le juge nécessaire, elle pourrait ouvrir une enquête formelle sur le partenariat avec Microsoft afin d'identifier un éventuel abus de position dominante du géant des logiciels.