Des géants des technologies comme Apple, Google et Microsoft ont précédemment argué que cela représenterait une menace pour la cybersécurité et la vie privée des utilisateurs.
Le chef de la police fédérale australienne, Reece Kershaw, a désigné notamment Meta, qui a mis en place un système de chiffrement de bout en bout pour le réseau social Facebook et la messagerie Facebook Messenger.
Le chiffrement de bout en bout empêche les forces de l'ordre d'intercepter les messages, seuls l'expéditeur et le destinataire étant en mesure d'en lire le contenu.