Au guidon de son taxi-tricycle qui file dans les rues de Kinshasa, Gédéon, 22 ans, rêve de devenir ingénieur, comme des millions de jeunes Congolais qui demandent à leurs dirigeants un avenir à la hauteur de leurs ambitions.
Mais à la veille du scrutin, l'AFP a rencontré des jeunes qui demandent juste du travail et la paix, en appelant la vingtaine de prétendants à la magistrature suprême à mettre ces sujets en tête de leurs priorités.
Sur le plan de la sécurité, toujours des guerres. Aujourd'hui, le taux du chômage est très élevé. Les jeunes ne travaillent pas.
De jeunes entrepreneurs réunis récemment à Goma ont aussi souligné qu'il fallait offrir aux jeunes des perspectives d'avenir, autres que celle de prendre les armes.