Parmi ces véhicules imposants, dont certains sont vendus à la fois en Asie, en Europe et au Moyen-Orient (mais aucun en Amérique du Nord) figurent le pick-up Hilux, le 4x4 Land Cruiser 300, les SUV Fortuner et LX500d.
C'est une nouvelle affaire embarrassante pour le numéro un mondial de l'automobile, déjà empêtré dans un vaste scandale de tests truqués par une autre de ses filiales, Daihatsu, dont la production est suspendue depuis décembre.
Un rapport indépendant initié par Toyota Industries et remis lundi au ministère japonais des Transports a désormais confirmé que trois moteurs diesel produits par cette entreprise pour l'automobile étaient aussi concernés par des irrégularités du même type.
Ce nouveau scandale n'a pas empêché l'action Toyota de nettement grimper lundi à la Bourse de Tokyo (+3,14%). Celle de Toyota Industries a en revanche chuté de 4%.