Le ministre s'exprimait après la publication des résultats d'une consultation publique menée pendant un mois à Hong Kong sur la future loi sur la sécurité nationale, qui complètera celle imposée par Pékin en 2020 après les grandes manifestations pro-démocratie de 2019.
Ce dernier avait été imposé directement au territoire par le gouvernement central de Pékin et a, dans les faits, rendu illégale toute forme de dissidence ou de contestation dans la ville.
Les associations de journalistes, les organisations de défense des droits humains, les entreprises étrangères et les diplomates craignent que la nouvelle loi ne restreigne encore davantage la liberté d'expression.