L'organisation palestinienne de défense des droits de l'Homme Al-Haq, représentée par le réseau d'avocats Global Legal Action Network (GLAN), va tenter de faire annuler cette décision, ont-ils ajouté dans une déclaration transmise à l'AFP.
Leur dossier s'appuyait notamment sur les règles édictées par le Royaume-Uni, qui prévoient que le pays ne doit pas exporter d'armes lorsqu'il y a un risque clair qu'elles puissent être utilisées en violation du droit international.
Selon un rapport publié en janvier par seize organisations humanitaires, une grande partie des armes utilisées par Israël, où le pays mène des opérations militaires meurtrières contre la bande de Gaza, contiennent des pièces venues du Royaume-Uni.
Depuis le 7 octobre 2023, l’armée de l'État hébreu mène une guerre dévastatrice dans l'enclave palestinienne.
Le conflit a provoqué, en outre, des destructions massives d’infrastructures, et une catastrophe humanitaire sans précédent, selon l’Onu.