Andrew Dabalen, économiste en chef de la Banque mondiale pour l'Afrique, précise:
Une croissance du PIB par habitant de 1 % est associée à une réduction du taux d'extrême pauvreté d'environ 1 % seulement dans la région, contre 2,5 % en moyenne dans le reste du monde.
L'institution préconise donc de s'attaquer aux inégalités structurelles, en investissant dans le capital humain, en taxant les plus fortunés via l'impôt sur le revenu ou l'impôt foncier, ou encore en renforçant le libre échange régional, afin de favoriser la croissance et réduire la pauvreté.