Plusieurs candidats à l'élection présidentielle, qui se présentent contre le président actuel Andry Rajoelina, avaient appelé à une marche pacifique à Antananarivo, pour protester contre ce qu'ils estiment être un "coup de force institutionnel" pour le maintenir au pouvoir.
Les forces de sécurité avaient déjà fait usage de gaz lacrymogènes lundi afin de disperser les manifestants d'une autre marche car celle-ci n'avait pas été autorisée, selon la police.