La prison de Reading, à l'ouest de Londres au Royaume-Uni. Crédit photo: JUSTIN TALLIS / AFP
Selon les données de l'ONS, 97 % des personnes ayant perdu la vie étaient des hommes, tandis que les 94 femmes décédées au cours de cette même période représentent 3 % du nombre total de décès.
Il a également été souligné que 677 des décès enregistrés dans les prisons pendant cette période étaient des suicides alors que 145 étaient liés à la drogue.
"Le risque que les détenus masculins meurent de causes liées à la drogue était similaire au taux global des détenus masculins entre 2008 et 2015, tandis que ce taux était plus élevé entre 2016 et 2019. Cette augmentation coïncide avec l'augmentation du nombre de décès dus aux nouvelles substances psychoactives"
, a déclaré James Tucker, statisticien à l'ONS.
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