La police a connaissance d'une querelle entre Saman Perera, qui n'est pas député, et le chef d'une organisation criminelle locale.
La police a affirmé que cette opération a débouché sur une baisse notable de la criminalité.
Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Volker Turk, a critiqué cette opération, affirmant qu'elle avait été marquée par une série d'abus, dont des arrestations arbitraires, le recours à la torture en détention, des fouilles corporelles à nu et des perquisitions sans mandat.
Le ministre de la Sécurité publique, Tiran Alles, a déclaré à la presse la semaine dernière à Colombo qu'il n'était pas convaincu par ces accusations et que l'opération relevait de l'intérêt supérieur du pays.