Cette traduction d'un livre de 1977 sort jeudi, par le Français Olivier Le Lay, alors que la première, en 1979, était signée de la Franco-Belge Gilberte Lambrichs.
Le livre fut assez mal accueilli par la critique alémanique, qui y vit un témoignage trop subjectif sur la mort précoce. Mais les Suisses romands s'y intéressèrent bien plus après sa publication par une maison comme Gallimard.