Il a précisé que les inquiétudes portent notamment sur les moyens déployés pour évaluer et atténuer les risques de certaines vidéos pour la santé mentale et physique des enfants, ainsi que sur les procédures permettant de garantir que les contenus diffusés sont adaptés à l'âge des mineurs concernés.
Concrètement, il s'agit dans les quatre dossiers de demandes formelles d'informations pour vérifier que les règles imposées par l'UE pour protéger les citoyens européens sont bien appliquées.
Mais il s'agit d'une première étape dans des procédures qui peuvent conduire à de lourdes sanctions financières en cas d'infractions avérées et prolongées à la réglementation. Dans des cas extrêmes, les amendes peuvent atteindre 6% du chiffre d'affaires mondial des groupes mis en cause.
Le DSA impose depuis fin août des règles plus strictes à 19 très grands acteurs de l'internet.