Ce texte hautement sensible doit constituer la grande réforme sociétale du deuxième quinquennat du président Emmanuel Macron.
Suivront, entre autres, des représentants du corps médical mardi, des cultes mercredi, d'associations jeudi, ou encore des psychologues, philosophes, sociologues, anciens ministres et parlementaires.
Au cœur des questionnements, le fait de proposer à certains patients le moyen de se suicider et, quand ils sont incapables d'accomplir le geste fatal, de le faire pour eux.
"Aide à mourir"
Dans une Assemblée souvent tumultueuse, où le gouvernement ne dispose que d'une majorité relative, la question du climat des débats sera centrale.
Dans ce sujet qui relève de l'intime, les groupes politiques ont annoncé qu'aucune consigne de vote ne serait donnée. Gauche et camp présidentiel devraient représenter l'essentiel des soutiens face à l'hostilité qui domine à droite et à l'extrême droite.