Le président de la République française, Emmanuel Macron et sa femme, Brigitte Macron.
Interrogé par des journalistes sur le sujet à l'issue de la cérémonie scellant l'avortement dans la Constitution, le président a commenté:
La pire des choses, ce sont les fausses informations et les scénarios montés, avec des gens qui finissent par y croire et qui vous bousculent, y compris dans votre intimité.
Depuis 2017 et l'élection d'Emmanuel Macron, des
"rumeurs"
essaiment régulièrement sur les réseaux sociaux clamant que Brigitte Macron, née Trogneux, serait en réalité une femme transgenre dont le prénom de naissance était Jean-Michel.
Un vaste complot serait à l'œuvre pour masquer ce changement d'état civil, qui s'est également déclinée en accusations, plus graves, de pédocriminalité portées contre la Première dame.
"Contre ce machisme, il faut utiliser le droit, la justice"
a détaillé M. Macron, appelant à un renforcement de contrôle de
"l'ordre public numérique"
sur les réseaux sociaux,
"un formidable lieu d'expression des plus fous"
qu'il estime encore être
"sans règles."
La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern et l'ex-Première dame américaine Michelle Obama avaient aussi été ciblées par des
"rumeurs"
relayant qu'elles étaient nées assignées homme, en 2017 et 2018.
Le président Macron a estimé qu'il
"y avait un énorme travail à faire d'éducation"
, arguant que
"le combat féministe, ce n'est pas un combat des femmes, c'est un combat des hommes et des femmes."
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2 ay önce
