Les experts ont cité des violences et des crimes haineux contre les minorités, la rhétorique déshumanisante et l'incitation à la discrimination et à la violence, les assassinats ciblés et arbitraires, ainsi que l'utilisation abusive des services publics contre des opposants politiques.
Ils ont également regretté qu'il n'y ait eu aucune visite dans les pays d'experts de l'ONU depuis 2017, avec 15 demandes en attente sans réponse.
Les critiques accusent aussi le gouvernement indien d'utiliser le système judiciaire pour cibler ses rivaux politiques, plusieurs personnalités de l'opposition faisant l'objet d'enquêtes criminelles.