Dimanche matin, Telegram était de nouveau accessible sans l'aide d'un VPN (réseau privé virtuel), a constaté l'AFP à Bagdad.
Telegram est très populaire en Irak. L'application est notamment utilisée comme plateforme de propagande par des groupes liés aux factions armées et aux partis pro-iraniens.
Après quatre décennies de conflits, l'Irak a retrouvé une relative stabilité, mais les autorités sont régulièrement épinglées par des ONG et des militants pour des atteintes à la liberté d'expression.