Le communiqué ne précise pas quelles seraient ces mesures, demandées en premier lieu au ministère de la Justice.
Le président Sall a décrété samedi le report de dernière minute de la présidentielle initialement prévue le 25 février, après trois ans de tensions récurrentes et en pleine bagarre politique sur les candidatures retenues ou écartées pour le scrutin.
Elle a aussi voté le maintien de M. Sall au pouvoir jusqu'à la prise de fonctions de son successeur, vraisemblablement début 2025.
Ce report sans précédent et les conditions dans lesquelles il a été décidé ont causé un choc et un tollé.
Des tentatives de manifestations ont été réprimées et des dizaines de personnes interpellées.