Ces installations sont occupées par des ressortissants de plusieurs pays, notamment de Chine, souvent victimes de traite des êtres humains et contraints de travailler à escroquer leurs compatriotes.
Pékin a demandé à plusieurs reprises à l'armée birmane de sévir contre ce secteur dont les activités se concentrent dans l'État Shan (nord-est) et génèrent des milliards de dollars chaque année selon des analystes.
Selon des analystes, elle a reçu le soutien tacite de la Chine face à ce que les experts décrivent comme l'inaction de la junte.