Une deuxième vague a été lancée, et une troisième le sera ensuite.
Devant un scénario de pénurie, la Cour des comptes a récemment rappelé que c'est au Cojo de payer l'Etat si l'armée venait à être mobilisée.
La répartition des forces de police de sécurité publiques et privées a fait l'objet de la signature d'un protocole de sécurité entre l'Etat et le Cojo, document qui est en cours de réactualisation. Une annexe est prévue pour la question spécifique de la cérémonie d'ouverture sur la Seine.
En plus de la crise du Covid, et de conditions de travail et de salaires peu reluisantes, le critère de cinq ans de titre de séjour imposé par la loi sécurité globale de 2021 a tari encore plus le vivier d'agents.