L'Égypte, fortement endettée et en grave crise économique, a déjà procédé à une dévaluation de sa monnaie de 50 % ces derniers mois, alors qu'elle négocie de nouveaux crédits avec le Fonds monétaire international (FMI) qui fait du flottement de la livre une condition à son aide.
Le gouvernement compte sur ces investissements étrangers pour tenter notamment de contribuer à résoudre la crise des devises étrangères en Égypte, alors que le pays est en difficulté pour rembourser sa dette extérieure qui s'élève à près de 165 milliards de dollars.