La principale rue de Gion, Hanamikoji, qui est publique, restera ouverte aux touristes.
Il avait aussi rapporté à des médias japonais des incidents comme le kimono d'une maiko déchiré par des touristes ou un mégot de cigarette jeté dans le col de leurs vêtements.
Depuis la levée des restrictions à ses frontières mises en place pendant la pandémie, le Japon assiste à un afflux de visiteurs étrangers, et prend parfois des mesures contre le surtourisme.
Cet été, les randonneurs empruntant l'itinéraire le plus populaire pour gravir le mont Fuji devront ainsi s'acquitter d'un droit d'entrée de 12 euros, et le nombre de personnes sera limité pour des raisons de sécurité.