L’accord, signé depuis novembre 2022 "va s'opérationnaliser à partir du mois de février-mars pour venir nous permettre de connaître un peu le disponible dans nos différentes eaux", a dit ce jeudi à la presse le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Sidi Tiémoko Touré.
A partir de cette année 2023, dès le mois de juillet à août, il sera instauré le respect biologique des espèces aquacoles (de façon) obligatoire, ce qui permettrait à nos différentes espèces de pouvoir se reproduire et grandir suffisamment avant d’être pêchées.
Sur ce volume de 450 milliards Fcfa, la part des importations en termes de production animale est estimée à 100 à 150 milliards Fcfa. Les productions nationales en viandes, abats et halieutiques ne couvrent que respectivement 44,6% et 13,44% des besoins nationaux avec une contribution du secteur au PIB évaluée à 2%.