Dans un article publié jeudi dernier, le journaliste de Mediapart a révélé des détails inédits sur ce dossier, éclairant les zones d'ombre qui entourent les relations entre Lafarge et des autorités françaises, particulièrement les services secrets et le ministère des Affaires étrangères.
Implication des renseignements français ?
Le Pnat a souligné que, si certains cadres de Lafarge avaient des liens avec les services de renseignement français, il n'y a pas de preuve que ces derniers aient encouragé ou facilité les actions illégales de Lafarge. Les accusations selon lesquelles ces cadres auraient agi comme agents des services secrets sont réfutées par le Pnat, qui insiste sur la responsabilité individuelle des cadres de l'entreprise dans le contexte des activités de celle-ci.