Accusations de parjure
Les experts en informatique des deux parties avaient notamment conclu que le fichier originel du texte fondateur du bitcoin aurait en réalité été produit dans le logiciel OpenOffice, et non via le système de composition de documents LaTex comme l'avançait M. Wright.
L'avocat de la défense, Anthony Grabiner, avait de son côté avancé que son client disposait des compétences liées au droit, aux transactions monétaires et à l'informatique cohérentes avec celles nécessaires pour inventer le bitcoin.
Le juge Mellor n'a pas précisé la date à laquelle il rendrait public son jugement écrit.
L'issue de cette affaire déterminera celle d'une autre, opposant M. Wright à 26 développeurs, des individus aussi bien que des sociétés comme la plateforme Coinbase, qu'il accuse d'avoir enfreint ses droits de propriété intellectuelle.