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C'est ce qui ressort de son intervention lors de l'ouverture des travaux de la Commission des questions sociales, de la santé et du développement durable et de la réunion du Réseau des parlementaires de référence pour un environnement sain, de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, qui se tiennent à Marrakech les 16 et 17 mars.
Alami a déclaré qu'il existe des défis tels que
"le terrorisme, les risques d'affaiblissement de l'État et son effondrement à la suite de conflits internes, ainsi que les risques de sécession et de démantèlement des États"
.
Il a appelé à faire face aux menaces internes, telles que
"l'intolérance, l'isolationnisme, le sectarisme, les tendances anti-institutionnelles, en particulier les tendances anti-parlementaires, et la remise en question du bien fondé et de la nécessité du travail et de l'engagement politique".
Le président de la Chambre des représentants du Maroc a estimé qu'
"il ne saurait y avoir de droits garantis par les Constitutions et les législations démocratiques fondées sur les chartes et les traités internationaux, sans démocratie institutionnelle aux différents niveaux local, régional et national".
Il a par ailleurs appelé
"les grandes puissances économiques, les multinationales et les acteurs influents dans la prise de décision économique et politique internationale, à concrétiser les engagements internationaux dans le domaine de la lutte contre le changement climatique".
Alami les a également invités à financer l'économie verte, à soutenir la transition énergétique et à faciliter le transfert de technologies vers un certain nombre de pays, en particulier vers l'Afrique et l'Amérique latine.
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