Dans la nuit de lundi à mardi, 120 personnes ont été interpellées devant des locaux de la prestigieuse Université de New York (NYU), selon un bilan revu à la baisse de la police.
Mais le vif débat, et l'ire des étudiants, sont loin de retomber.
L'administration de mon université, mes élus au Congrès et même le président se comportent comme s'ils étaient des porte-parole de la communauté juive, assimilant l'antisionisme à l'antisémitisme.
La semaine dernière, une centaine d'étudiants de Columbia, réclamant la fin de la guerre qui ravage Gaza et que leur établissement boycotte toute activité en lien avec Israël, ont été interpellés.
À Yale, une cinquantaine de personnes ont été arrêtées dans ces circonstances similaires.
"Secouée"
De nombreuses universités américaines se sont retrouvées au cœur de l'actualité avec la guerre à Gaza.
Ces derniers jours, plusieurs campus se sont embrasés.