L'Iran a lancé, samedi, une attaque aérienne contre Israël en représailles au bombardement de son consulat à Damas, en Syrie, le 1er avril, qui a coûté la vie à sept officiers supérieurs iraniens, dont deux hauts responsables de l'antenne syrienne et libanaise du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI).
En réponse, les pays occidentaux ont promis de renforcer leurs sanctions contre l'Iran, mais disent vouloir aussi éviter une escalade de la violence dans la région.
"Signal fort"
Nous n'hésiterons pas à prendre toutes les mesures nécessaires pour vous faire rendre des comptes.
Côté européen, la décision d'imposer de nouvelles sanctions visant les producteurs iraniens de drones et de missiles avait été prise mercredi lors d'un sommet à Bruxelles.
L'idée est d'envoyer un signal fort à l'Iran afin que ce qui s'est passé ne se répète pas.
"Risques économiques"
Une nouvelle escalade n'est dans l'intérêt de personne.