Ministre de l'Industrie des Émirats arabes unis et directeur général de la compagnie énergétique nationale Adnoc, Sultan Al Jaber est devenu le premier dirigeant à présider une COP, la conférence des Nations unies sur le climat.
Tout le monde a été impliqué dans les débats et a contribué au résultat.
Malgré le soulagement qu'a engendré cet accord, étant donné que la COP28 risquait d'échouer jusqu'aux dernières heures de la conférence, de nombreux délégués et ONG ont jugé qu'il s'agissait d'un compromis imparfait.
En effet, l'accord n'appelle pas explicitement à la sortie des énergies fossiles, préférant le terme de transition, et comporte des lacunes pour les pays désireux de continuer à exploiter leurs réserves d'hydrocarbures.