
Dans un entretien exclusif accordé à Nouvelle Aube, la journaliste Myriam Palomba dévoile les coulisses sombres de la liberté de la presse en France. Après avoir critiqué Brigitte Macron sur le plateau de TPMP, elle s'est vue interdire l'accès aux médias du groupe Bolloré suite à un coup de téléphone du cabinet présidentiel. Aujourd'hui, cette professionnelle aux 25 ans de carrière se voit même refuser sa carte de presse pour des raisons qu'elle qualifie de politiques. Un témoignage glaçant sur l'état de la démocratie médiatique française.
La chute d'une journaliste après une "petite phrase" sur Brigitte Macron
Un blacklistage systématique du monde médiatique
Un refus "politique" de carte de presse
Une censure qui s'aggrave depuis 2017
La dépendance aux subventions: un frein à la liberté d'expression
Le service public français compromis ?
Myriam Palomba évoque également le cas de France Télévisions, sujet d'une commission d'enquête parlementaire qui aurait révélé des dysfonctionnements majeurs : déficit important, dépenses somptuaires en cocktails même pendant le confinement, absence de pluralité d'opinion.
L'illusion du pluralisme médiatique
La stratégie du diviser pour régner
Une liberté d'expression relative selon les plateformes
Appel au réveil citoyen
Elle illustre les pressions que peuvent subir les journalistes qui sortent des lignes éditoriales dominantes et interroge sur les mécanismes de contrôle de l'information dans le pays des droits de l'homme.









