Les images proviennent de Saraçhane. Les visages des interviewés sont cachés par des bonnets, des écharpes ou des t-shirts formant des masques.
Le reportage démarre sur un ton intrigué :
Nous leur avons demandé pourquoi ils cachaient leur visage.
Le texte accompagnant la vidéo sur T24 se termine par deux questions :
Et toi, qu’en penses-tu ? Ont-ils raison d’avoir peur ?
Revenons aux craintes des jeunes… Elles sont compréhensibles, mais aussi incomplètes, naïves, et pourraient très bien ne leur servir à rien.
Certains verront dans ce texte une menace ou une tentative de fichage. C’est faux. J’en ai parlé dans de nombreuses conférences : dans l’écosystème numérique, personne n’est vraiment invisible. Personne ne vous surveille en temps réel, mais si on le souhaite, on peut facilement consulter les archives. Le temps des publications anonymes est terminé. Si un crime est commis, la police retrouve les auteurs avec une précision redoutable.
La situation est à la fois limpide et chaotique. Espérons que ce ne soit pas les trolls qui dominent les places publiques, mais la raison. Et espérons surtout que quelqu’un prenne la peine d’expliquer cette simulation d’avenir possible à ces jeunes.
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