L'insécurité persistante entrave les opérations d'assistance aux réfugiés qui s'installent sur les bandes frontières où les déplacements ne sont possibles que sous escorte militaire.
L’attaque est survenue à proximité de sites abritant des réfugiés nigérians qui fuyaient les exactions de ces bandes armées.
Les armées des deux pays ont mené des opérations conjointes pour tenter d’endiguer le phénomène.
Les deux États doivent aussi faire face, dans le Nord nigérian et le Sud-est nigérien, aux combattants de Boko Haram et du groupe Daesh en Afrique de l’Ouest (Iswap).