
Le président américain Donald Trump a promis lundi un "enfer" si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d'ici samedi.
Depuis la Maison Blanche, il a déclaré à la presse:
En ce qui me concerne, si tous les otages ne sont pas ramenés d'ici samedi midi - je pense que c'est une date convenable - je dirais: 'annulez-le et rien ne va plus, qu'un véritable enfer se déchaîne'.
Cette exigence va plus loin que l'accord de trêve en vigueur depuis janvier.
Couper l'aide
Non, ils n'en auraient pas car ils auront des logements bien meilleurs.
Ces deux pays, parmi les plus importants bénéficiaires de l'aide américaine, de même que plusieurs Etats arabes et occidentaux ont rejeté cette idée.
Renforts israéliens
Le Hamas a accusé Israël d'avoir tardé à honorer ses engagements à chaque étape du processus prévu par l'accord de trêve, et, dans une référence à trois Palestiniens tués la veille à Gaza, d'avoir violé le cessez-le-feu.
Le gouvernement israélien a en outre refusé jusqu'à présent que ses négociateurs envoyés à Doha discutent de la deuxième phase de la trêve, comme cela était prévu à partir du 16e jour du début de l'application de l'accord.
Le jour même, trois otages israéliens ont été libérés en échange de 183 captifs Palestiniens très éprouvés physiquement, cinquième échange selon les termes de l'accord conclu sous l'égide des médiateurs qatari, égyptien et américain.