Interrogé sur le sujet, le porte-parole du quai d'Orsay s'est contenté de souligner que la France soutient la transition et l'acheminement du pays vers une présidentielle démocratique.
Interrogé sur d'éventuelles sanctions à l'égard d'Israël comme elle l'a fait à l'encontre du Vénézuela, le porte-parole s'est contenté de rappeler que la France a été le premier pays européen à sanctionner les colons israéliens violents.
S'agissant d'engager des poursuites judiciaires contre eux en cas de crimes contre les Gazaouis, il a indiqué qu'il était encore tôt pour en parler dans la mesure où rien de tel n'a encore été rapporté.
L'objectif de cette conférence sera double: apporter les financements nécessaires à l'aide humanitaire et appeler les parties en conflit à permettre l'entrée sécurisée des aides, a-t-il souligné.