Ils avaient déjà annoncé fin juillet avoir pour projet de construire une deuxième usine, sans préciser alors ni le montant d'investissement, ni son emplacement.
Cette annonce intervient alors que Stellantis, comme General Motors et Ford, fait face aux États-Unis à une grève d'ampleur, lancée mi-septembre par le syndicat United Auto Workers (UAW) pour réclamer entre autres de meilleures conditions salariales.