
Lors d'une conférence de presse, le leader intérimaire du Parti du pouvoir populaire, Kwon Young-se, a rejeté les spéculations sur cette option, la qualifiant "d'irréaliste" et "d'inappropriée", selon l'agence de presse Yonhap.
Kwon a exprimé ses propos après avoir été interrogé par les journalistes sur l'éventualité d'une démission de Yoon, en réponse aux préoccupations selon lesquelles un jugement en faveur de la destitution pourrait entraîner des tensions politiques aiguës.
Il fait également l'objet d'une interdiction de voyager.
Suspendu de ses fonctions depuis le 14 décembre, suite à un vote du Parlement en faveur de sa destitution, l'affaire de Yoon est désormais entre les mains de la Cour constitutionnelle, qui dispose d'un délai de six mois pour rendre sa décision quant à une éventuelle révocation ou réintégration du président.