Média égyptien: Le Hamas s'engage à ne pas participer à la gestion de la Bande de Gaza au cours de la période à venir

11:5216/02/2025, dimanche
MAJ: 16/02/2025, dimanche
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Des combattants palestiniens du Hamas sécurisent une zone avant de remettre des otages israéliens à une équipe de la Croix-Rouge à Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza, le 15 février 2025, dans le cadre du sixième échange d'otages et de prisonniers. Les militants de Gaza doivent libérer trois otages israéliens le 15 février en échange de 369 Palestiniens détenus par Israël. Il s'agit du dernier échange en date dans le cadre d'une trêve qui a failli s'effondrer cette semaine.
Crédit Photo : BASHAR TALEB / AFP
Des combattants palestiniens du Hamas sécurisent une zone avant de remettre des otages israéliens à une équipe de la Croix-Rouge à Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza, le 15 février 2025, dans le cadre du sixième échange d'otages et de prisonniers. Les militants de Gaza doivent libérer trois otages israéliens le 15 février en échange de 369 Palestiniens détenus par Israël. Il s'agit du dernier échange en date dans le cadre d'une trêve qui a failli s'effondrer cette semaine.

Le mouvement de résistance palestinien Hamas a accepté de ne pas participer à l'administration de la Bande de Gaza au cours de la prochaine période, a rapporté un média égyptien, samedi.

Citant une source bien informée, le site d'information Al-Qahera News a indiqué que
"l'Égypte mène d'intenses discussions pour former un comité temporaire chargé de superviser le processus d'aide et de reconstruction dans la Bande de Gaza".

"Le Hamas confirme son engagement à respecter l'accord de cessez-le-feu en trois phases et sa non-participation à l'administration de la Bande pendant la phase à venir",
a ajouté la source.

Aucune déclaration officielle n'a toutefois été faite par le Hamas à ce sujet.


L'accord de cessez-le-feu en trois phases est entré en vigueur à Gaza le 19 janvier, permettant la suspension de la guerre génocidaire menée par Israël, qui a tué plus de 48 200 Palestiniens, dont une majorité de femmes et d'enfants, et a réduit l'enclave à l'état de ruines.


En novembre dernier, la Cour pénale internationale (CPI) a délivré des mandats d'arrêt à l'encontre du Premier ministre Benyamin Netanyahu et de son ancien ministre de la défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité perpétrés dans la Bande de Gaza.


Israël est également poursuivi pour
"crime de génocide"
devant la Cour internationale de justice (CIJ) en raison de la guerre subie par l'enclave.

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