Des victimes appelaient à l'aide sous les décombres de la Saint Academy à Jos, capitale de l'État, et des parents cherchaient désespérément leurs enfants, a constaté sur place un correspondant de l'AFP.
Les effondrements de bâtiments sont malheureusement fréquents au Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique, en raison du laxisme dans l'application des normes de construction, de la négligence et de l'utilisation de matériaux de mauvaise qualité.