Au Togo et en Guinée, l’association française Eau Z’Enfants mène des missions humanitaires pour garantir l’accès à l’eau potable dans des zones rurales délaissées. Nouvelle Aube a suivi une mission en immersion révélant une réalité alarmante: des millions d’enfants privés d’eau potable, avec de lourdes conséquences sanitaires et scolaires. Grâce à la construction de forages, l’association réduit les maladies liées à l’eau et l’absentéisme scolaire. Une action concrète face à une urgence humanitaire largement ignorée.
Une urgence humanitaire ignorée en Afrique de l’Ouest
Une association française engagée en Afrique mène des missions humanitaires au Togo et en Guinée. Son objectif est clair: répondre à un besoin vital, l’accès à l’eau potable. Des millions d’enfants en sont encore privés. Ces zones rurales restent souvent abandonnées par les autorités locales et largement ignorées par la communauté internationale.
Nouvelle Aube a suivi une mission en immersion aux côtés de l’association Eau Z’Enfants. Sur le terrain, la réalité est brutale. L’absence d’eau potable conditionne toute la vie quotidienne. Les enfants parcourent parfois plusieurs kilomètres pour s’approvisionner en eau insalubre, au détriment de leur santé et de leur scolarité.
Eau Z’Enfants, des actions concrètes au Togo et en Guinée
Face à cette situation, Eau Z’Enfants agit de manière concrète et durable. L’association finance et construit des forages dans des villages isolés. Ces infrastructures permettent un accès direct à une eau potable et sécurisée pour des centaines de familles.
Les effets sont immédiats. Les maladies hydriques reculent, notamment les diarrhées et les infections parasitaires. L’absentéisme scolaire diminue également. Les enfants passent moins de temps à chercher de l’eau et retrouvent les bancs de l’école.
L’eau potable, un droit fondamental pour les enfants
Au Togo comme en Guinée, l’accès à l’eau potable reste un défi majeur. Malgré les engagements internationaux, des millions d’enfants vivent encore sans ce droit fondamental. Les initiatives associatives comme Eau Z’Enfants pallient l’inaction des pouvoirs publics dans certaines régions.
En documentant cette mission, Nouvelle Aube met en lumière une crise silencieuse. Une crise qui appelle une mobilisation accrue de la société civile et de la communauté internationale.
