
La France a réaffirmé, ce jeudi, sa condamnation des frappes israéliennes sur la bande de Gaza tout en maintenant sa position en faveur d'une "solution diplomatique" plutôt que des sanctions contre Israël.
Cette position française, qui mise sur la diplomatie plutôt que sur la contrainte, risque toutefois de susciter des critiques, alors que les bombardements sur Gaza continuent de faire des centaines de victimes civiles.
Israël reprend ses attaques massives sur Gaza
Malgré un cessez-le-feu déclaré le 19 janvier, Israël a repris ses attaques à grande échelle sur Gaza le 18 mars. Depuis, plus de 700 Palestiniens ont été tués et plus de 900 autres blessés.
En novembre dernier, la Cour pénale internationale (CPI) a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son ancien ministre de la Défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité à Gaza.
Israël fait également face à une procédure pour génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour sa guerre contre l'enclave.