Arrêté il y a près de cinq mois, le correspondant du magazine Jeune Afrique est jugé pour un article, non signé de son nom, mettant en cause les renseignements militaires dans le meurtre d'un opposant, Chérubin Okende.
Chercheur de Human Rights Watch, Fessy estime:
L'affaire semble de plus en plus motivée par des considérations politiques et s'inscrit dans un cadre de répression contre les médias.
Jeudi, la famille de l'opposant s'est dite "fatiguée" d'attendre les résultats de son autopsie et, selon son avocat, a finalement décidé de l'enterrer, près de sept mois après sa mort.