Correspondant du magazine Jeune Afrique, il est jugé pour un article, non signé de son nom, ayant mis en cause les renseignements militaires dans le meurtre d'un opposant.
Me Jean-Marie Kabengela, un des avocats du journaliste a déclaré à la presse:
On espérait que l'ordonnance accordant la liberté provisoire à notre client (...) serait rendue aujourd'hui.
Depuis son arrestation, le 8 septembre, les appels se sont multipliés pour la libération de Stanis Bujakera, mais toutes ses demandes de liberté provisoire ont jusqu'à présent été rejetées.
La défense du journaliste a toujours contesté ces accusations.